Les Disonnants | La voix de l'écologie radicale

Le Prince Charles en a rêvé… nous l'avons fait !

Grands cormorans en Macédoine qui volent au desus de l'eau devant le soleil levant.

Tintamarre Écologique épisode #1 : Que vive le vivant !

À écouter

Publié le par Cedric


Le podcast thématique des Dissonants !

Nous sommes très heureux.ses de vous partager ce premier épisode du Tintamarre Écologique autour de la thématique du : Vivant ! Pendant des MOIS, le collectif a bûché sur le sujet. Entre éducation scientifique, politique et découvertes philosophiques nous vous proposons de nous rejoindre pour nous aider à construire une culture écologique.

Cet épisode a été enregistré en Février 2020, toutes les références à la période de confinement ne sont que le (malheureux) hasard d’un imaginaire qui nous a porté pendant l’enregistrement.

Pour écouter l’épisode #1 : Que vive le vivant !

Les Dissonants, Tintamarre Écologique – Episode #1 – Que vive le vivant !

Pour aller plus loin, voici le résumé …

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Protestation sur la surconsomation à Paris

La voie de la radicalisation

À maturer

Publié le par Margaux


Dissonante,

parce que je milite pour une société écologique intégrale. Mais alors que je n’ai ni ferme, ni chèvre, que je ne vis pas en ZAD, ni même dans une communauté, que j’ai un travail salarié aliénant…

…De quel droit me réclamer du mouvement écologique ?
Ce droit, celui de parler, je le prends. 

Nous aurons toujours une bonne excuse pour ne pas prendre part au débat, pour ne pas nous sentir légitime à exposer nos idées. Assumer ses dissonances est un outil formidable pour reprendre le pouvoir sur le jugement de l’autre et sur l’auto-jugement. Si nul n’est parfait, il semble important toutefois de connaître les lieux de nos imperfections, et plutôt que de les blâmer, les questionner. Quels sont les solutions pour minimiser l’impact de ses imperfections me demanderez-vous ? Pas d’impatience, elles viendront plus tard.

La dissonance est inhérente au statut de militant.

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Peinture représentant 3 femmes dans un champs déjà récolté essayant de glaner quelques grains.

Against the grain : contre le grain, à contre courant.

Conseil de lecture

Publié le par Margaux

Fiche de lecture & vulgarisation:
Homo domesticus. Une histoire profonde des premiers Etats (Against the Grain. A Deep History of the Earliest States), de James C. Scott, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Marc Saint-Upéry, préface de Jean-Paul Demoule, La Découverte, Janvier 2019.


Pourquoi ce livre est-il intéressant pour le débat écologique ? Parce que l’histoire du néolithique et des premiers États de James C. Scott est dissonante.  La pensée écologique ne se contente pas de proposer un nouveau récit mais de déconstruire l’ancien pour comprendre les rouages de notre système de pensée actuel et donc de notre culture. Je vois dans ce livre une manière de déconstruire le mythe du progrès qui serait “inhérent à la nature humaine”, le mythe de la sédentarité comme objet de désir de l’humain du néolithique, le mythe de l’agriculture considéré comme le plus grand avancement humain, le mythe de l’anthropocène considéré comme l’ère récente où l’homme aurait eu un impact irréversible sur son environnement, enfin, le mythe de la coopération globale entre humain dans l’établissement des premiers États.

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Simba et son père muphasa dans le Roi lion

Réinventons notre imaginaire.

À maturer

Publié le par Margaux


Nos parents se sont demandés quel monde ils nous laisseraient. Ce monde, le voici. Et voici l’heure de ne plus parler de développement durable, encore moins des petits gestes qui sauvent la planète. Tous ces concepts sont des gros mots qui cachent une réalité déjà bien visible.

S’il est besoin de le répéter, répétons-le : perturbation du climat, extinction des espèces, pollution à l’échelle planétaire, plastique dans la glace du cercle polaire…
On y est ! 

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